lundi 23 mars 2009

Mister Screenman (365 - Jour 82)


Mister Screenman
Mise en ligne par mistercham

Chaque jour qui passe me prouve à quel point je deviens dépendant de mes écrans.

Mon iMac, passage obligé pour lire mes mails et les "tweets" des gens que je suis, pour relever les flux RSS des thèmes qui me passionnent. Il est devenu l'accessoire indispensable à ma photothèque et aux retouches d'images. C'est aussi le nouveau siège de ma discothèque, prolongé par l'iPod quand je quitte le foyer.
Bien sûr le PowerBook prend la place de l'iMac dès que je quitte la maison plus de 24h... notamment pour les vacances, réservées à partir de l'iMac...

Mon téléphone mobile, qui m'accompagne partout. Téléphoner, recevoir des appels, jouer à Texas Hold'em en attendant l'ouverture des portes du magasin, prendre une photo d'un blouson pour demander à Mme s'il lui plaît...

Mon Palm, pour trouver le meilleur itinéraire en métro, prendre des notes, gérer mon agenda, mon carnet d'adresses... Bientôt il devrait céder sa place à un iPhone... avec son bel écran "mutitouch"..

Mon GPS, mon meilleur ami quand il faut aller jouer un match de tennis de table au fin fond de l'Oise, des Yvelines. Mais aussi quand il faut sortir de cette saloperie de rue saturée et rejoindre au plus vite le sud de la capitale... Un bon allié des vacances pour trouver les itinéraires bis...

Sans oublier le plus antique des écrans; le petit, qui mesure tout de même plus de 32", tout LCD avec un son suround pour suivre un match de foot, se délecter d'un documentaire ou un bon épisode de Dr House...

Au sujet des vieux supports média, il y en a un dont je ne peu pas me passer non plus, c'est la radio. Le matin au petit dej', en bagnole, parfois même dans mon lit quand je suis seul.

Hier d'ailleurs, pendant que je rangeais la voiture au parking, j'écoutais une chronique que j'adore sur France Info : Le sens de l’info. Le titre d'hier, "Collisions" : "Fait sans précédent, en quelques jours deux collisions quasi-imprévisibles se sont produites. Loi des séries, ou mauvaise utilisation des statistiques ?". Ecoutez le dialogue entre Michel Polacco et Michel Serres, cela fait froid dans le dos...

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