The last espresso
Mise en ligne par mistercham
C'est déjà la fin du périple. Un dernier espresso à l'aéroport Fontanarossa de Catane avant de prendre le vol vers Paris...
C'est déjà la fin du périple. Un dernier espresso à l'aéroport Fontanarossa de Catane avant de prendre le vol vers Paris...
Le monstre sicilien fume bien blanc. Pas de danger imminent, la bête se repose, mais n'en demeure pas moins impressionnante.
La ville de Syracuse est quipée en Vélib' : les GoBike. Ceux-ci sont bien plus jolis que les parisiens et équipés de compteur !
Le beau parlé Sicilien, il lui fallait au moins une maison... Ici à Ragusa, superbe ville.
A l'entrée de Noto, un marchand de souvenirs joue la carte de la clientèle de niche...
A Ognina le soleil s'est évanoui derrière les terres. Le ciel s'emplit de nuit, dans un air encore brûlant.
Odeurs de poissons, cris du poissonnier, le marché est celui de Syracuse, haut en couleurs.
Le ciel aux allures dramatiques engage autant à fuir vers la Sicile que de rester au sol plutôt que prendre les airs..
Ce ciel plein de tourments me fait penser à cette chanson des Pink Floyd, sublime, belle à pleurer.
Après cinq années de bons et loyaux services et nombre de mises à jour, un petit formatage du disque dur et une réinstallation du système n'était pas superflue.
C'est fait, ça tourne comme une horloge !
Balade parisienne aujourd'hui, sous un cagnard terrible.
Rue de Rennes, le vieux et superbe magasin Felix Potin se reflète dans la Fnac qui se fait un lifting.
Qui s'amuse à laisser ces traces blanches dans cet azur si précieux ?
Provocation ou tout simplement incivisme de rigueur ?
Les cons sont légions... surtout chez les propriétaires de chiens !
Alors que le temps est automnale, une petite Chimay Triple fait un bien fou...
Welcome to my new Canon EOS 500D !
Voilà, après toutes ces années de trés bons et très loyaux services de mon EOS 300D, je change de calibre...
Je reviendrai vous faire un topo sur l'engin un de ces jours, après l'avoir testé comme il se doit.
De retour de "Harry Potter le Prince de Sang-Mêlé". L'orage gronde sévèrement... Ambiance ensorcelée !
Et il a fallu se bouger très vite pour ne pas se retrouver lessivé. Contrairement à ce qu'il se passe dans le film où finalement cela ne bouge pas beaucoup...
Bon, je précise tout de même que ne suis pas fan d'Harry Potter. Mon avis est sans doute un peu biaisé, mais quand même...
Là, si les forces du mal rendent le film un peu plus sombre et moins enfantin, cela ne suffit pas à aller au delà du teen-movies. Harry le sorcier a sa libido qui commence à le travailler, comme son pote Ron. Côté nana c'est du même tabac. Hermione a des montées d'hormones, moins que la pulpeuse Lavande, mais autant que Ginny. Alors forcément ça s'échauffe, des gros clichés ados dégringolent et la salle rigole. Comme pour les scènes où Harry et Ron semblent être sous "ecsta".
Question action il faut attendre la fin, bâclée à mon goût. Bref, cet opus a beau être très bien réalisé, avec de belles images et de bons effets, le scénario est d'une platitude telle que le gentil sorcier n'aura vraiment pas réussi à m'ensorceler.
L'ancienne mairie se reflette dans la nouvelle. Réduction de l'espace temps...
Ou de l'érotisme d'une superbe peau de pêche...
J'ai le souvenir d'un ami journaliste, un mec très bon, cinglé, avec qui j'ai fait un paquet déplacements un peu partout dans le monde. Un mémorable à New York où on avait bien déconné, dans l'hémicycle même de l'ONU, ce qui lui avait valu le surnom de Boutros-Boutros...
Mais là c'est cet épisode lors d'un reportage à Vérone en Italie qui m'est revenu à l'esprit en voyant cette pêche. Alors que nous sortions de l'ascenseur en compagnie d'une très jolie attachée de presse d'une compagnie aérienne italienne, faisant allusion à son sympathique postérieur, il n'avait pu s'empêcher de me faire remarquer, "on lui boufferait le cul comme une pêche !".
Toute la finesse de sa remarque m'est ainsi revenue, et, qui oserait dire le contraire devant ce cliché, il n'avait vraiment pas tort, une pêche, avec sa peau délicieusement douce, c'est terriblement sexy, limite érotique !
He was here, green eyes glowing in the dark, ready to spit cafeine...
Grosse journée rangement. Au détour des babioles, un Titi surfant à Hawaii... dans sa boule de neige.
Besoin de vacances...
Un nouveau jouet à la maison. Une basse Fender. Doum, doum, doum, doudoum...
J'ai toujours eu un faible pour la bonne bouille de ce gratte-dos du Japon...
Il est aussi placide qu'il rend placide...
Un soir sur l'autoroute vers, vers, vers, vers, vers, vers...
Ce soir le réfrigérateur était un peu vide... Un truc à vous glacer le sang dans ces courants d'air...
Gros orage avec beaucoup d'eau et de fortes bourasques. Intermède très humide dans cette période estivale...
Soirée cinéma et sortie de salle sous un ciel hitchcockien... Pourtant ce n'était pas Les Oiseaux, mais l'Age de Glace 3...
Pour tout dire, si je n'allais pas voir ce troisième opus avec un enthousiasme délirant, c'est bien parce que j'avais lu pas mal de critiques qui n'arrangeaient pas vraiment le film. Mais bon, l'Age de Glace, c'est comme un Shrek, quand il en sort un nouveau, on se déplace...
Mais voilà, comme bien souvent, dans l'art délicat de la comédie, multiplier les opus sans user les gags jusqu'à la corde n'est pas simple. La preuve une fois de plus avec ce "Temps des Dinosaures" qui, s'il ne manque pas de nous faire marrer pas mal de fois tout de même, pue la tête de gondole de supermarché avec sa foire aux gags empilés, gerbés même, le terme convient ici parfaitement.
Point trop n'en faut, sinon c'est la nausée. Scrat et son gland, Manny, Diego et bien sûr Sid sont parfois très bons, mais c'est trop souvent déjanté au delà du supportable.
A voir lors d'une séance à tarif réduit...
Cadrage et mise au point aléatoires. Le Mojito nuit-il à la qualité photographique ?
La cour de l'école communale est déserte. Elle ne s'éveillera aux rires, aux cris et aux jeux des enfants que dans 2 mois... "Mais oui, mais oui, l'école est finie..."
C'est bizarre, mais je suis nostalgique de ces bonnes vieilles écoles communales de notre belle République. Mes enfants n'ont pas connu ces bâtiments incroyables. Leur école était moderne, sans âme, fragile, à se délabrer à peine sa garantie décennale éprouvée.
Je suis allé dans la même école que mon père. J'ai même connu un de ses instituteurs, monté en grade et devenu alors directeur. Peu de choses avaient changé. Les escaliers de pierre, les vieux porte-manteaux verts, même les tables à encriers étaient encore là !
Je me souviens de ces jours de printemps où la chaleur s'abattait dans la cour. Sur le portique de pierre de l'entrée, la glycine semblait ployer sous le poids des grappes fleuries. Cela sentait l'été, les derniers jours de classe avant d'interminables vacances...
Une journée passée à travailler sur le thème de la bière, forcément, ça joue...
A la chasse au éclairs durant l'orage, coup de zoom sur le bâtiment d'en face où une jeune femme utilise son ordinateur, au frais sur son balcon.
C'est étonnant d'ailleurs comme la vision que l'on a des gens peut-être bouleversée selon les saisons. Deux étages plus hauts vit une femme que j'ai régulièrement croisée tout au long de l'année. Plutôt chic, maquillée comme il faut le matin, je l'ai toujours trouvée "plutôt pas mal".
Ce soir, canicule aidant, elle a pris l'air sur son balcon, débardeur et petit short court. Elle est vraiment pas mal du tout...
Ah l'été...
Dans le parking souterrain de la mairie, des déclarations cachées dans la pénombre...